Un policier rennais était jugé, ce jeudi, pour violences volontaires, faux en écriture et fausse dénonciation. Sa victime : un dealer frappé lors d’une interpellation le 5 mai dernier.
Pendant près de 2 h, la présidente essaye de savoir ce qui s’est passé. Le policier parle de sa vérité, légitime un comportement adéquat. Maître Gwendoline Tenier, avocate de la victime, interroge : « S’il n’y avait pas eu la vidéo ? Mon client aurait été jugé sur la foi d’un procès-verbal faux et tronqué. Ce n’est pas admissible ! » Ouest France