A Rennes Deux avocates de détenus ont déposé plainte. Des agissements qui ont déjà été dénoncés par la contrôleuse générale des lieux de privation de liberté.
« Cela fait des années qu'on est confronté à ces violences de la part d'une minorité de surveillants, mais souvent les détenus n'osent pas déposer plainte, car ils ont peur des conséquences et quand ils le font, l'affaire est classée sans suite », se désole Gwendoline Tenier, avocate à Rennes (Ille-et-Vilaine). C'est ce qui est arrivé récemment à l'un de ses clients, placé en détention provisoire pour trafic de drogue au Centre pénitentiaire de Rennes-Vezin.». Le Parisien