Venus de Lorient, du Finistère et de la région parisienne, ils sont une douzaine à comparaître, depuis ce mercredi 16 juin 2021, devant le tribunal de Brest, pour trafic de stupéfiants. Leurs appels écoutés, leurs allers-retours consignés, leurs géolocalisations enregistrées, difficile de nier l’évidence. Au tribunal d’établir leurs rôles avant de prononcer leurs peines.
« Dans le collimateur, Le Petit « préfère garder le silence ». Son avocate, Amina Saadaoui, du barreau de Rennes, vient à la rescousse : « Le Petit est vite monté en grade. Mais il n’est pas le chef. Quand on est un jeune de la cité des Mureaux, c’est compliqué de résister aux pressions, à l’argent facile. » Ouest France