En raison des nullités des procédures soulevées par les avocats, deux hommes ont été relaxés ce mardi 1er octobre à Saint-Brieuc. Ils étaient poursuivis pour une affaire de stupéfiants.
« Le tribunal a suivi les demandes de nullité de la procédure soulevées par leurs avocats Gwendoline Tenier et Emmanuel Le Vacon. Les notifications des droits pendant les gardes à vue ont constitué l’une des nullités plaidée. « Interpellé à 10 h, mon client, ressortissant marocain, n’a pu avoir accès à un interprète que 3 h 10 après le début de la garde à vue. Un retard injustifiable qui est une cause de nullité »». Ouest France